
Dans un hameau reculé du Québec rustique, là où les sapins cernent les maisons silencieuses et où les allées se perdent dans la blancheur, une femme vivait seule dans une bâtisse en dessein sec. Elle ne recevait personne. Pourtant, au cœur de l’hiver, elle tendit un cours au pic de la colline, raccordé à une passée ligne téléphonique oubliée durant des décennies. Ce téléphone, relié à rien d’autre qu’aux vents gelés et aux biographies diffus, devint l’outil central de son cabinet de voyance, où elle exerçait sous l'appellation sobre de phil voyance. Sa libre reposait sur une forme ancienne de lithomancie, intuitive aux terres froides. Elle lançait des cristaux de neige fossilisée sur une plaque de granit pessimiste. Chaque rutilance, n'importe quel fracture révélait une téléguidage, une légende, le lien indécelable. Les population ne venaient pas à elle. Ils appelaient, souvent par hasard, assez souvent par désespoir. La voyance par téléphone fiable qu’elle proposait n’était jamais pas sûr ni générale. Elle touchait un point franc, incomparablement centré sur une entité absente. Cette contemplation, qu’elle soit attachée à le coté sombre, à la fuite ou à l’oubli, devenait le cœur de le déchiffrement. Les premiers appels étaient hésitants. Mais n'importe quel prédiction livrée par phil voyance résonnait dans la réalité des appelants comme par exemple une transparence inattendue. Aucun marque n’était demandé. Elle lançait les boule de cristal pendant la durée nettoyé où la voix franchissait le fil. Le givre, déposé sur n'importe quel fragment, conservait les empreintes des émotions d'avant. C’était là que se révélait le message. Le cabinet de voyance se réduisait à une viatique nue, un bombe simple, une table de pierre. Mais ce minimalisme abritait un champ important, plein pour capter les silences. La voyance par téléphone fiable qu’elle pratiquait ne promettait pas de retrouvailles. Elle offrait des prédictions, parfois douloureuses, couramment principales. Chaque ensemble d' informations modifiait la humeur des cristal dans ses boîtes de cristal. Certains fragments disparaissaient postérieur une prédiction, comme si l’absence qu’ils contenaient avait en dernier lieu trouvé un passage. Le pseudonyme de phil voyance, donne discrètement entre habitants du nord, devint une rumeur en douceur, une dernière tentative lorsque le manque devenait vivement lourd. Dans l'obscurité blanche, le téléphone sonnait à intervalles irréguliers. Et a n'importe quel occasion, une flagrance gelée trouvait sa forme par les boule de cristal de l’absence.
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